Dernier maquis

Mao possède une entreprise de réparation de palettes et un garage de poids lourds dans une zone industrielle anonyme de la banlieue parisienne. Il décide d’ouvrir une mosquée pour ses employés mais désigne l’imam sans aucune concertation. Certains ouvriers contestent ce choix et le conflit social ne tarde pas à s’envenimer. Après Wesh wesh et Bled Number One, Rabah Ameur-Zaïmeche poursuit, à contre-courant des clichés, sa plongée poétique singulière au cœur du monde de l’immigration maghrébine et cette fois de l’univers du travail.