
Volker Schlondorff
de Philippe FrelingVolker Schlöndorff a été marqué dans son adolescence par les films de Jean Cocteau. Il explique combien ces images de rêves apportaient de poésie dans les dures réalités de l'Allemagne d'après-guerre. Découvrant les grands maîtres russes à la Cinémathèque Française, il préfère là encore des cinéastes poétiques comme Poudovkine ou Dovjenko. Pour préparer ses films, Volker Schlöndorff cherche souvent l'inspiration dans la peinture. Ainsi, pour Le tambour, il a beaucoup travaillé sur la palette du peintre Lindner. L'inflluence de Bergman l'a aussi marqué, en particulier pour son utilisation du noir et blanc, qu'il a cherché lui aussi à retrouver dans le traitement épidermique des visages. Schlöndorff a souvent adapté des livres, préférant toujours de grandes oeuvres littéraires (Le roi des aulnes). Cela représente pour lui un défi, un combat qui le stimule, et c'est un grand moment d'aventure qu'il retrouve dans le tournage.
- année2001
- durée13min
- fin de droits12/30/2050
- support d'origineVidéo
- couleurCouleur
- personnalitésSchlondorff volker
- pays exclusFrance
- vendeursMerapi productions
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