Les Couilles de l’éléphant
Au Gabon, la campagne pour les élections législatives va commencer. Alevina, homme politique de renom, n’est pas sûr de sa réélection : le multipartisme est désormais de règle. Il fait appel à Leclerc, un spécialiste parisien de la communication politique. Mais il ne pouvait pas prévoir qu’Alevina, grand amateur de femmes (« sa queue nous perdra » disent ses partisans), tomberait en panne… d’érection ! En fait, c’est son épouse qui, lassée de ses infidélités, a consulté une nganga (sorcière). Cette dernière, y allant un peu fort, au lieu de se contenter de calmer les ardeurs de cet homme volage, l’a rendu impuissant. Or, sans érection, pas d’élection ! Ce premier long-métrage fort réussi est une satire féroce des moeurs politiques gabonaises de l’époque. Le style des dialogues y est subtil (parfois), chargés (souvent), grinçant (la plupart du temps). Inutile d’essayer de savoir si, dans ce film, c’est la politique qui mène au sexe ou le sexe à la politique. Tout est dans tout (et réciproquement) comme disaient Francis Blanche et Pierre Dac dont ce jeune réalisateur est l’émule.
Les Couilles de l’éléphant
Au Gabon, la campagne pour les élections législatives va commencer. Alevina, homme politique de renom, n’est pas sûr de sa réélection : le multipartisme est désormais de règle. Il fait appel à Leclerc, un spécialiste parisien de la communication politique. Mais il ne pouvait pas prévoir qu’Alevina, grand amateur de femmes (« sa queue nous perdra » disent ses partisans), tomberait en panne… d’érection ! En fait, c’est son épouse qui, lassée de ses infidélités, a consulté une nganga (sorcière). Cette dernière, y allant un peu fort, au lieu de se contenter de calmer les ardeurs de cet homme volage, l’a rendu impuissant. Or, sans érection, pas d’élection ! Ce premier long-métrage fort réussi est une satire féroce des moeurs politiques gabonaises de l’époque. Le style des dialogues y est subtil (parfois), chargés (souvent), grinçant (la plupart du temps). Inutile d’essayer de savoir si, dans ce film, c’est la politique qui mène au sexe ou le sexe à la politique. Tout est dans tout (et réciproquement) comme disaient Francis Blanche et Pierre Dac dont ce jeune réalisateur est l’émule.
Fiche technique
- année2000
- nationalitéGabon
- durée1h44
- couleurCouleur
- producteursAdelaide productions
- année2000
- nationalitéGabon
- durée1h44
- couleurCouleur
- producteursAdelaide productions
Kit de ressources
- 2médias
Avis de la communauté
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies servant à améliorer votre expérience.Plus d'informations
