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Belmondo le magnifique

Hommage à Jean-Paul Belmondo (1933-2021)

3 films

Jean-Paul Belmondo nous a quitté le 6 septembre 2021. Monstre sacré du cinéma français, connu pour sa gouaille parisienne, son naturel et ses cascades sans doublure, Belmondo a tourné sous la direction des plus grands réalisateurs français. Acteur populaire mais également acteur de films d'art et d'essai, il a tourné quelques 80 films, dont certains devenus des classiques du cinéma, de la comédie aux films d'aventure en passant par le film noir, le polar et le drame. Nous lui rendons ici hommage avec 4 films de ses débuts de carrière dans les années soixante, réalisés par Jean-Pierre Melville, Jean-Luc Godard, et Philippe de Broca, où il révèle son talent de comédien.

Belmondo le magnifique
  • Polar, Adaptation littéraire, Film de patrimoine
  • 1961
  • France
  • 1h50
  • droits échus
de Jean-Pierre Melville

Maurice Faugel, à sa sortie de prison, règle quelques comptes et prépare un nouveau cambriolage avec son ami Silien. Il ne sait pas que dans le milieu, ce dernier a la réputation d’être un «doulos», c’est-à-dire un indicateur. Adaptation d'un roman policier de Pierre Lesou paru en 1957.

  • Drame, Adaptation littéraire, Film de patrimoine
  • 1965
  • France
  • 1h52
  • droits échus
de Jean-Luc Godard

Le monde est déboussolé. Pierrot ne s'appelle pas Pierrot, mais Ferdinand. Il est bien fou, mais fou d'amour pour Marianne, qui s'ennuie. Pierrot suit Marianne dans une course (folle, évidemment) vers le Sud, vers la mer. Vers la mort, au soleil et en couleurs. Adaptation littéraire d'après Obsession (Le Démon d'onze heures), de Lionel White.

  • Adaptation littéraire, Drame, Film de patrimoine
  • 1961
  • France
  • 2h10
  • droits échus
de Jean-Pierre Melville

Un village français pendant l’occupation. Barny est une jeune veuve passionnée qui vit seule avec sa fille. Intelligente et frustrée, elle souffre des élans amoureux qui la portent vers ses collègues de travail. Incroyante, elle se risque à braver un prêtre… Léon Morin. Mais celui-ci est jeune, beau, fort moralement et aussi intelligent qu’elle. Barny se retrouve prise à son propre piège. Une lutte mystique et amoureuse s’engage entre eux, de laquelle personne ne sortira vainqueur... Adaptation du roman éponyme de Béatrix Beck, 1952, et prix Goncourt.

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